Cette année sera consacrée à l’étude de deux oeuvres principales auxquelles s’ajouteront des pièces plus courtes qui enrichiront le programme par leur diversité.
Tout d’abord, le « Liebeslieder Walzer« , Op. 52, de Johannes Brahms (1833-1897) qui est une suite de valses pour voix et piano à quatre mains, composées et inspirées des poèmes d’amour de Georg Friedrich Daumer (1800-1875). Ces valses reflètent l’influence de compositeurs précédents, notamment celle de Franz Schubert.
Puis vient « Mirjams Siegesgesang » D.942, de Franz Schubert (1797-1828), composée l’année même de sa disparition survenue bien trop tôt, à l’âge de 31 ans. Cette composition est un lied pour soprano, chœur et orchestre, basé sur un texte de Friedrich Rückert (1788-1866). Elle est souvent considérée comme l’une des dernières œuvres du compositeur et témoigne, une ultime fois, de son génie musical avant sa mort.
À ces compositions, nous agrègerons quelques pièces contemporaines encore inédites pour nous, mais non moins intéressantes :
- « Agnus Dei » de Samuel Barber (1910-1981, E.U.))
- « Cantate Domino » de Karl Jenkins (né en 1944, R.U.)
- « Cantate Domino » de Tim Blickhan (né en 1945, E.U.)
- « A Flower Remembered » de John Rutter (né en 1945, R.U.)
Nous clôturerons enfin par la « Cantate n°147″ de J.S. Bach…